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“...du ler Aoöt 1859
sont restées sans réponse; et quoique il s’y trouve prouvé
d’une manière incontestable, que la goëlette » Terror,"
était rin navire appartenant i la Republique Dominicaine;
que comme tel, il ne pouvait être vendu 3ans son consen-
timent; et qu’enfin, puisqu’il était & nous, nous avions
été dans notre droit en le retenant chcz nous, dès qu’il
vint se meltre enlre nos mains; néanmoins, mon Gou-
vernement, en égard & 1’insistence de celui de S M. Neêr-
landaise, et voulant mettre un terme k unc affaire qui
trainc si longtemps en longueur au préjudice des bonnes
rélations des deux pays, veut bien se désister de son droit
et finir 1’affaire selon le désir de votre Gouvernement;
mais pour cela il nous faudrait régler la manière d’y par-
venir, dans une conférence immédiate.
Si Monsieur le Commandant veut bien me désigner
1’heure k laquelle il voudra bien venir me voir, je 1’atten-
drais chez moi, rue de » Santo Tomas, N°. 26.”
Veuillez, Monsieur, agréer 1’assurance de ma haute...”
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