1 |
![](https://dcdp.uoc.cw/content/AA/00/00/05/47/00001/NL-0200050000_UBL10_00442_0021thm.jpg) |
“...incom-
plete dans le cartulaire 89 des archives de 1’État a Mons. Une
mention dans un obituaire (archives de 1’État è. Mons, cartu-
laire 753“, fol. 51 v°) nous permet de préciser la date : « Idus
octobris domnus Egidius li Muisis, hujus cenobii xvijus ».
3. Nous ne possédons aucun récit contemporain de ses funé-
railles. Seules quelques notes, tirées de manuscrits perdus, qui
nous sont parvenues dans les résidus Saint-Germain, nous four-
nissent quelques renseignements a ce sujet (Bibl. nat., ms.
lat. 12682, fol. 225 v«).
4. Poésies, éd. Kervyn, t. II, p. 16.
5. Gf. infra, p. 142, note....”
|
|
2 |
![](https://dcdp.uoc.cw/content/AA/00/00/05/47/00001/NL-0200050000_UBL10_00442_0050thm.jpg) |
“...Illusfrissime domine, hodie est dies
gratie et in hac die Salvator noster nos redemit, et in
cruce pendens latroni indulsit et pro se crucifigenti-
bus exoravit. Et, illustrissime domine, nos omnes
hic genibus flexis humiliter supplicamus, quatenus,
1. Cette anecdote ne se trouve que dans la Chronique de
Gilles le Muisit. Si Lecoy de la Marche 1’a insérée dans la
France sous saint Louis et sous Philippe le Hardi (Paris,
Quantin [s. d.]. In-8°, p. 96-97), c’est qu’il 1’a traduite d’après
le ms. lat. 6271 (fol. 16) de la Bibliothèque nationale, ms. qui
est la copie du ms. de Courtrai de la Chronique de Gilles le
Muisit....”
|
|
3 |
![](https://dcdp.uoc.cw/content/AA/00/00/05/47/00001/NL-0200050000_UBL10_00442_0277thm.jpg) |
“...dictum est : « Ut populus sic
sacerdos1. » Et apparent in omnibus rerum muta-
tiones et unusquisque in sua consciencia hoe avertat
et judicet. Dicit enim sancta virgo Hildegardis in qua-
dam epistola de personis ecclesiasticis : « Vocem
quoque habent et non clamant, opera etiam eis data
sunt et non operantur; gloriam absque merito habere
volunt et meritum absque opere2. » Qui gloriam
1. « Et erit sicut populus sic sacerdos. » (Isaïe, XXIV, 2.)
2. Sainte Hildegarde, lettre XLVIII (éd. Migne, Patrol, lat.,
t. CXCVIII, col. 249), adressée au doyen Philippe et aux clercs
de Cologne....”
|
|