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“...domus de Rume-
gnies; fueruntque in domo de Torielies sed nichil
ibi invenerunt et eidem pepercerunt, procurante
preposito, dictode le Courbe, baillivode Aldenardo; et
reversi sunt per dictum pontem ad exercitum. — Et
recesserunt in crastino festi nativitatis beate Virgi-
nis3, deponentes sua tentoria et logias quas fecerant
comburentes.
Franci pauci sed Lombardi equites et Hispani pedites, qui
vocantur Bedauri, quamplurimi, » et Villani, Cronica, t. VIII,
cap. 76 : « ma la cetta era ben guernita di buona cavalleria
et della masnade de’ Lombardi e Toscani. »
1. Le siège, ayant commencé le 15 aoüt, dura done jusqu’au
2 septembre.
2. Peut-être le ler septembre.
3. 9 septembre 1303. — Les Flamands avaient levé le siège
depuis quelques jours quand ils se retirèrent....”
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“...clause se trouve également
exprimée dans la trêve conclue a Antoing après le 24 aoüt.
Cf. p. 138.
1. 10 aoüt.
2. 29 mai. Le Breve Chronicon Flandrie (éd. De Smet, Cor-
pus Chronicorum Flandrie, t. III, p. 9) donne comme date de
cette catastrophe le 29 mai 1341 : il faut corriger 1342, la faute
venant soit du scribe, qui aura écrit .i. au lieu de .ij., ou de
1’éditeur. Nous retrouvons dans Villani la même date qu’ici :
« All intrare di giugno 1342, disavvedutamente apprese il
fuoco nella terra di Mellina di Brabanti e fu si impetuoso e
sanza avere rimedio di soccorso... » (Istor., 1. XI, ch. 141.)
3. 24 aoüt 1342....”
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“...Continuateur de Nan-
gis (éd. Géraud, t. II, p. 199), ceux d’Amiens ne furent envo-
yés 4 Poissy que le 16 aoüt. Le 13 aoüt nous semble préférable;
car il est 4 supposer que le roi d’Angleterre a tenu 4 s’assu-
rer le passage de la Seine avant de tenter une diversion vers
Chartres; d’autre part, il lui fallait au moins un jour ou deux
pour réparer le pont de Poissy, qui est trés long.
1. « E lo re di Francia s’accampó fuori di Parigi mezza lega
a San Germano de Prati, e 14 fece sue mostre e trovossi piü di
otto mila cavalieri et piü di sessanta mila sergenti a piè che
piüdi seimilave n’avea di Genovesi abalestratra delle galee... »
(Villani, Istorie Florentine, 1. XII, ch. 64.)
2. La Chronique normande (éd. Molinier, p. 78), les Grandes
Chroniques (éd. P. Paris, t. V, p. 457) et le Continuateur de
Nangis (éd. Géraud, t. II, p. 199) disent que le roi s’avanga
jusqu’4 Antony....”
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“...scientes restiterunt, et fuit ibi ingens helium;
sed per Dei voluntatem Judei fuerunt superati. Et dice-
bant communiter quod plus quam xxv millia de Judeis
fuerunt interempti1; de Ghristianis tarnen multi ceci-
derunt et mortui sunt. Fuitque destructus locus et
1. Ce chiffre est exagéré, la communauté juive de Cologne
ne comprenait alors qu’un millier de personnes. — II est &
remarquer en outre que Gilles le Muisit parle d’une résistance
acharnée des Juifs et d’une trahison organisée par les bou-
chers; les chroniqueurs allemands ne disent rien de semblable;
les Juifs, d’après ces chroniqueurs, auraient mis le feu 4 leurs
maisons pour échapper par une mort volontaire au massacre
dont les menagaient leurs assaillants. (Cf. C. Brisch, Geschichte
der Juden in C'óln und Umgebung..., t. I, p. 136-137.)...”
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“...Post aliquos dies quidam qui erat castellanus de Gra-
velingues simili modo dictam villam vendiderat; sed
deceptus fuit et captus cum suis complicibus et facto-
ribus.
Sciendum est etiam quod rex Francie, deliberatione
habita cum suo consilio et cum civibus quos manda-
vit per civitates et per villas, de sua moneta ordina-
vit, fuitque concordatum quod in termino Purificatio-
1 • Comme le fait remarquer Molinier (Chronique nor mande,
p. 294, note), Tassard doit être identifié avec Baudouin de Bou-
velinghem; toutefois, nous ne pouvons expliquer comment
Gilles le Muisit a altéré le nom 4 ce point.
2. Guillaume de Beaucaurroy.
3. Robert d’Avesbury (éd. Thompson, p. 414-415) rap-
porte que la ville fut surprise, mais il ne fait pas mention de la
trahison; Geofiroi le Baker (éd. Thompson, p. 117), mieux
informé, rapporte qu’il y eut et trahison et surprise....”
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“...Antoing, Mortier.
Grammont (Flandre oriëntale),
202, 204.
Gravelines, Gravelingues (Nord),
302.
Grenesia, cf. Guernesey.
Groeninghe, Groninges, Gro-
ninqhe (Flandre occidentale),
66, 67, 87.
Gueldre (comte de) [Renaud I"],
14-15. —Dues : [Renaud II],
111, 126, 128, 137, 140; —
[Renaud HI], mari de Marie
de Brabant, 180.
Guérin, cf. Pourret.
Guernesey, une des lies nor-
mandes, 143.
Gui, cf. Besancon, Boulogne,
Flandre, Neele,
uilhem, cf. Ventadour.
uillaume, Guillelmus, cf. Au-
xonne, Beaucaurroy, Bou-
logne, Castagne, Flandre,
Garde, Hainaut, Hellemmes,
Hussem, Juliers, Montagu,
Mortagne, Namur, Pestiel,
Pore, Sainte-Claire, Salisbu-
ry, Steenhuyze, Warwick.
Guines (Pas-de-Calais), 261,
262, 270, 301-302, 308. —
Comte, cf. Eu (Raoul de
Brienne H, comte d’).
Guios, cf. Guyot.
Guise (Aisne), 253.
Guyenne, duché, 143.
Guyot, cf. Thourout.
Guysia, cf. Guise.
Gynes, cf. Guines.
H
Haernes, cf. Harnes.
Hainaut (le), 75, 76, 118, 123,
124, 148, 149, 189, 191-192,
238, 242, 271, 272, 296-297.
— Cf....”
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“... de Tournai, église
paroissiale, 42, 252, 254.
Saint-Pierre de Gand, abbaye
bénédictine, 208.
Saint-Pierre-lez-Gand, faubourg
de Gand, 208, 209.
Saint-Pierre-d’Hasnon, cf. Has-
non.
Saint-Pol (Pas-de-Calais). —
Comtes : [Gui IV], 68; [Hu-
gues], 29, 49.
— (Jacques [de Chatillon-]), sei-
gneur de Leuze et de Condé,
frère duf précédent, mari de
Catherine de Carencv, 29, 62,
63, 65, 69.
Saint-Quentin (Aisne), 118.
Saint-Siège. — Cardinaux, 48,
91, 111, 112, 182; cf. André,
Annibal, Boniface VHI, Bou-
logne (Gui de), Clermont-
Ferrand], Gaucelm, Gomez,
Montfavez, Périgueux. —
Chancelièr (vice-) de l’Église
romaine, cf. Périgueux, Prez
(Pierre des]. — Chapelain du
pape, cf. Michel as Clokettes.
— Cour de Rome, 6, 18, 27,
28, 85, 91, 112,139,140,189,
197, 238, 282, 288, 290-292,
309, 310. — Légats, cf. An-
nibal, Boulogne (Gui de),
Clermont-[Ferrand], Gomez,
Périgueux. — Nonces, cf.
Garde, Porte. — Papes, cf.
Benoit XII, Boniface VIII,
Célestin V, Clément IV, V et
VI, Innocent VI, Martin IV....”
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